Le divorce des cheminots et du gouvernement.

Quand l'actualité me navre.



Je ne commente presque jamais l'actualité. Hier, c'était jour de grêve. Et la juxtaposition des informations les plus hétéroclites déversées par l'ensemble des médias a pesé sur mes épaules de plus en plus lourdement jusqu'à ce que je mette un CD dans la radio de mon véhicule pour avaler les derniers mètres avant de rentrer chez moi, un peu plus sereinement.

La réforme des régimes spéciaux. Dès 8h ce matin j'explique à une personne qui subit les évenements sans vraiment les comprendre, pourquoi il n'y a pas de train et un risque de grêve des bus de ville.La retraite à 55 ans pour certains, à 62 ans bientôt pour les autres. La pénibilité, l'allongement de l'espérance de vie.
D'ailleurs, pour passer à travers les tracas de la grêve, j'avais comme chaque matin allumé ma radio. L'info-route locale, précieuse, était remplacée comme l'ensemble des programmes par une série de chansons. Station locale de France Bleu en grêve.
Plus tard, la signature (lundi) de Cécilia qui d'ailleurs pose dans "Match"comme un mannequin qu'elle fut, plus glamour (ça prend un "e" , robert le petit ?) que jamais. Nicolas est passé parapher le compromis de conciliation. Ils sont donc d'accord, ils ne le sont plus. Mais comme c'est la vie privée d'un Président, alors nous lisons, écoutons, regardons ce qui ne nous regarde pas mais quand même un peu. Navrant.
Ce soir j'apprends qu'une femme donne la vie mais se l'interdit , ne peut assumer. Le "déni" de grossesse, ce drame affreux vient frapper notre quotidien et ces infos qui s'egrènent sur un rythme soutenu. Effroyable détresse.

Un attentat secoue le Pakistan et salue, à sa manière, le retour,aprés huit années d'exil, de Benazir Bhutto .

Il y a des jours où on se prend l'actualité dans la gueule !

Tiens, j'entends encore Garou qui gueule .

On s'habitue au chien qui aboit et à la caravane....?

Haut de page