Tramway-Nice 1: Transports en commun




Ce billet inaugure une série de quatre, intégralement consacrés à la situation des transports, notamment le Tramway, à Nice et par extension dans la Communauté d'Agglomération Nice Cote d'Azur, dite CANCA.
Je tenais à inaugurer cette série avec le récit par le menu de mon dernier voyage en bus de Ligne d' Azur. Je vous livre mes notes "brutes".

16h26:stade du Ray, il arrive, 12 minutes d'attentes récompensées.
Pas bonjour. Je fais l'appoint.Pas merci. La climatisation fait un bruit infernal.Il fait certes frais, mais je ne peux pas imaginer passer un appel personnel ou professionnel. Des femmes, des gens âgés, des jeunes.
Trois jeunes filles écoutent de la musique, le volume à fond .
16h29: Deuxième freinage brutal. En fait, avant que je ne paye mon ticket il y avait déjà eu un freinage brutal. Je ne peux plus écrire, cela tremble et bouge trop.
16h32: Presque à Cimiez. Du stade du Ray au conservatoire, en 5 minutes, avec 3 arrêts.C'est rapide.
3ème freinage brutal.
Je passe devant le conservatoire, magnifique !
16h37: Les Arênes.20 personnes attendent. Ouf, seulement 8 ou 10 personnes montent. C'est un groupe constitué.Mon observation va être détournée.
Avenue des Arènes.Le bus est plus gros que la voie de circulation.Par conséquent, un freinage par "a coups " à chaque fois que l'on croise un autre véhicule.
Malgré la clim, forte et fort bruyante, les odeures corporelles prennent le dessus.
16h44: Nous remontons le boulevard Pasteur, c'est l'inverse de ma destination finale, la gare de Riquier.
16h45: Une porte fermée trop vite.
16h47: Un coup de klaxonne. Un scooter gaillardement double alors même que le bus réalisait un dépassement.
16h49: Hôpital Pasteur, une vieille dame oblitère mal son ticket.Des gens se parlent enfin.
16h53: je cède ma place à une dame âgée.Je me réinstalle au fond. 2ième coup de klaxonne.(il y avait eu deux fois la clochette, avant)
16h56: St Roch St Charles.Quartier le plus populaire.Des femmes, des enfants, des jeunes, des hommes immigrés. Deux touristes qui viennent des Arênes de Cimiez. Je ne distingue pas la conversation, le bruit de la fraîcheur. Les travaux du Tramway touchent à leur fin. Les fils sont tous là, en l'air.
Les derniers revêtements, le mobilier urbain,St Roch, les Diables bleus.Encore un jardin avec des bancs, de l'ombre,mais pas le moindre jeu d'enfants.Quelques minutes avant, à Pasteur je remarquais 8 mamies, avec les transat amenés, qui entouraient un banc.
17h02: j'approche de Riquier. Le terminus pour moi est presque arrivé.

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