Des projets, du travail, et pas de nouveaux billets sur ce bloc-notes !



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Mon appareil photographique vieillit mal. Chaque jour au fond d'une poche ou de mon cartable.
Ma plume est bien taillée, mais le temps devient une denrée précieuse et rare.
Je me fais rare sur le blog, et je ne sais pas bien si cela annonce des billets d'humeur retentissants, ou des scoops politiques . L'envie est là. La concentration, le calme, le temps manquent.

L'actualité locale ou nationale est pourtant bien fournie en faits divers révoltants, en actes politiques courageux, ou des plus minables.
Quelques jours d'impatience, de mon côté, de suspens, pour vous.

Un répit, même pas un repos.
La grève générale qui s'annonce, la démission retirée ou refusée de B. Kouchner, les frémissements d'un rassemblement des centristes, le tramway qui prendra les niçois pour des vers de terre, le bouillonnement des quartiers populaires sous fond de guerres des gangs, plus ou moins larvées, je n'arrive pas décidément à rester spectateur.
Je n'attendrai pas l'hiver pour vous parler des mal-logés ou des expulsés des derniers jours d'octobre.
Ni les premiers morts dans la rue pour relancer une collecte de vêtements sur facebook.

L'animation de la fédération MoDem de notre département me prend beaucoup de temps.Cafés débats, rencontres locales, préparatifs variés, vie des instances. Et bien d'autres engagements complémentaires. Je ne vous parle pas de mon activité professionnelle, qui apporte souvent des satisfactions, pas à pas, mais parfois des déconvenues, des "coups durs". Cela sous la menace de restrictions des moyens, pas toujours justifiée ou bien envisagée.
Nous ne pouvons pas nous passer d'hommes et de femmes pour accompagner les hommes et les femmes (jeunes) qui souffrent et ont soufferts de graves carences affectives et éducatives. L'automate ou le serveur vocal ne doivent pas se concevoir dans le secteur médico-social. Et pourtant.

Un thème qui m'est cher.Voilà un billet avorté. C'est l'eau à la bouche, pas la larme à l'œil, que je vous imagine ce soir.

C'est un rocher qu'il faut monter en haut de la colline. Une petite pierre suffit à la caler, pour marquer une pause, avant de gravir la pente.
Avant d'imaginer l'Homme heureux.


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